Une femme saltimbanque et nomade vêtue de rouge pourpre dévoile aux passants intrigués les cartes de leur destinées. Les cartes s’envolent au gré du vent des Maghyars. La sécurité de la sédentarité vole en éclats face à volatilité du nomadisme. Aurions nous peurs des aléas de l’existence ? Sommes nous prêts à douter, à nous remettre en question ? Autant d’interrogations qui ressortent de ce magnifique tableau et qui révèlent le caractère tourmenté du peintre « Georges Claverie » qui fut, durant toute sa vie, à la recherche de lui même.